Happy ending
Hier soir, 21h00, je rentre de Libourne où j'ai passé une après-midi merveilleuse...
Je n'ai pas mes clefs.
J'ai peu de batterie, je rappelle l'amie qui vient de me déposer.
Elle arrive en téléphonant, elle me dit que mes clefs sont restées à Libourne.
Je lui demande de me déposer chez FD.
Il me raccompagnera plus tard chez moi en me donnant le double de mes clefs.
********************************************************************
Retour en arrière.
Vendredi 13H30, je regarde mon tél et je vois un sms, "tu boudes tjrs ?".
Je l'appelle.
Il veut que l'on déjeune ensemble.
Je vais me faire rembourser difficilement un truc et je le rejoinds remontée...
Il est beau.
Je refuse qu'il m'embrasse où me touche.
Je suis insupportable pendant tout le repas.
Il sourit.
Finalement, nous partons enlacés passer la fin d'après-midi chez lui.
Je ne repartirai que dimanche.
********************************************************************
Epilogue :
Jeudi soir, il était très malade (diarhée aigues).
Il n'osait pas m'en parler... et ne voulais pas être avec moi dans cet état.
Alors je lui ai dit que cela m'avait rendu triste.
Il m'a dit que j'aurais du lui dire.
Il m'a fait comprendre que j'étais la femme de sa vie et qu'il ne fallait pas en douter.
On a joué au docteur, au papa et à la maman...
Regardé des films américains pourris, fait les courses,
déjeuné en ville, fait l'amour dans le jardin,
ramassé des figues, fait l'amour dans son lit, dansé, rit....
Je n'ai pas mes clefs.
J'ai peu de batterie, je rappelle l'amie qui vient de me déposer.
Elle arrive en téléphonant, elle me dit que mes clefs sont restées à Libourne.
Je lui demande de me déposer chez FD.
Il me raccompagnera plus tard chez moi en me donnant le double de mes clefs.
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Retour en arrière.
Vendredi 13H30, je regarde mon tél et je vois un sms, "tu boudes tjrs ?".
Je l'appelle.
Il veut que l'on déjeune ensemble.
Je vais me faire rembourser difficilement un truc et je le rejoinds remontée...
Il est beau.
Je refuse qu'il m'embrasse où me touche.
Je suis insupportable pendant tout le repas.
Il sourit.
Finalement, nous partons enlacés passer la fin d'après-midi chez lui.
Je ne repartirai que dimanche.
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Epilogue :
Jeudi soir, il était très malade (diarhée aigues).
Il n'osait pas m'en parler... et ne voulais pas être avec moi dans cet état.
Alors je lui ai dit que cela m'avait rendu triste.
Il m'a dit que j'aurais du lui dire.
Il m'a fait comprendre que j'étais la femme de sa vie et qu'il ne fallait pas en douter.
On a joué au docteur, au papa et à la maman...
Regardé des films américains pourris, fait les courses,
déjeuné en ville, fait l'amour dans le jardin,
ramassé des figues, fait l'amour dans son lit, dansé, rit....
2 Comments:
"Il n'osait pas m'en parler...
[...]
Il m'a dit que j'aurais du lui dire."
Bon, 1 partout la balle au centre, l'un comme l'autre vous n'avez pas osé parler et on connaît le résultat. Heureusement ça n'a pas débouché sur une décision prise à la légère.
Bonne continuation (dans le jardin ? pffft quand je vois le temps qu'il fait ici !!!) et que ça vous serve de leçon ;)
M.
Okay Doki monsieur l'arbitre ;)
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