Come Back dans les Backs
Deux semaines déjà, 13 ème jour de détention pour Jean-Paul Carton, et moi...
Que tout le monde se rassure je vais bien. Me revoilà après une période de silence téléphonique et électronique, essentiellement due au fait que je déménageait et que j’étais supra speed.
Donc voilà…
Aujourd’hui, j’aimerais parler de certaines choses.
La première, mon déménagement, vous vous souvenez, je ne savais pas s’il aurait lieu ou non. Eh bien, il a eu lieu avec un peu de retard, mais tout est parti des Lilas le 29 en fin d’après-midi.
Le soir venu, je décidais de prendre le train, fatiguée comme je l’étais de tant d’agitation (je devais par ailleurs accueillir les déménageurs le lendemain aux aurores et faire cours en début d’après-midi). Je me suis dit au diable les varices (ou plutôt comme dirait ma nièce « au diable la varicelle !!! »), je prend le train et cela me permettra de revenir le week end prochain, reprendre ma voiture.
Dans le train de 19 h (qui arrive à 22h00), je découvre que je n’ai pas mon carnet avec le numéro des amis chez qui je devais arriver vers 20H00 et passer la nuit. Sachant qu'ils ont des enfants en bas âge, je me voyais mal les réveiller tard. Ceci était mon plus gros problème jusqu’à ce que je découvre qu’on m’avait volé ma sacoche dans le train, avec diverses affaires personnelles et l’ordinateur de l’école. J’ai fouillé dans le train avec l’aide de l’unique contrôleur de ce train sans arrêt pour Bordeaux.
Je n'ai rien trouvé... alors accablée par tant de poisse, je me suis mise à maudire l'auteur de ce méfait sur 5 générations (moi je trouve que l'effet était plutôt dramatique et desespéré, les personnes de mon wagon ont, à en croire l'expression de leur visage, trouvé ça pathétique...).
Et puis on est arrivés en gare Saint Jean, j’étais tellement fatiguée que je me suis mise à pleurer. Le contrôleur a essayé de me réconforter…il m’a ensuite accompagnée au poste de la brigade ferroviaire. Je suis restée au poste jusque 2h00 du matin.
Les policiers, des landais, étaient sympas, ils ont bien vu que ça allait pas top.
Ensuite, j’ai du rentrer à pied chez les amis…je devais vraiment avoir une tête de pauvre fille parce que deux jeunes gens ont insisté pour m’y emmener en voiture…ils étaient gentils, ils essayaient de me faire rire.
Voilà pour ce qui du déménagement.
La deuxième chose dont j'aimerais parlé c'est le 30 qui était moins speed, mais plus spleen, le 30 septembre…5 ans et toujours à l'épreuve de l'oubli.
« Je ne sais si tu m’oublieras », moi je ne t’oublierais pas.
Que tout le monde se rassure je vais bien. Me revoilà après une période de silence téléphonique et électronique, essentiellement due au fait que je déménageait et que j’étais supra speed.
Donc voilà…
Aujourd’hui, j’aimerais parler de certaines choses.
La première, mon déménagement, vous vous souvenez, je ne savais pas s’il aurait lieu ou non. Eh bien, il a eu lieu avec un peu de retard, mais tout est parti des Lilas le 29 en fin d’après-midi.
Le soir venu, je décidais de prendre le train, fatiguée comme je l’étais de tant d’agitation (je devais par ailleurs accueillir les déménageurs le lendemain aux aurores et faire cours en début d’après-midi). Je me suis dit au diable les varices (ou plutôt comme dirait ma nièce « au diable la varicelle !!! »), je prend le train et cela me permettra de revenir le week end prochain, reprendre ma voiture.
Dans le train de 19 h (qui arrive à 22h00), je découvre que je n’ai pas mon carnet avec le numéro des amis chez qui je devais arriver vers 20H00 et passer la nuit. Sachant qu'ils ont des enfants en bas âge, je me voyais mal les réveiller tard. Ceci était mon plus gros problème jusqu’à ce que je découvre qu’on m’avait volé ma sacoche dans le train, avec diverses affaires personnelles et l’ordinateur de l’école. J’ai fouillé dans le train avec l’aide de l’unique contrôleur de ce train sans arrêt pour Bordeaux.
Je n'ai rien trouvé... alors accablée par tant de poisse, je me suis mise à maudire l'auteur de ce méfait sur 5 générations (moi je trouve que l'effet était plutôt dramatique et desespéré, les personnes de mon wagon ont, à en croire l'expression de leur visage, trouvé ça pathétique...).
Et puis on est arrivés en gare Saint Jean, j’étais tellement fatiguée que je me suis mise à pleurer. Le contrôleur a essayé de me réconforter…il m’a ensuite accompagnée au poste de la brigade ferroviaire. Je suis restée au poste jusque 2h00 du matin.
Les policiers, des landais, étaient sympas, ils ont bien vu que ça allait pas top.
Ensuite, j’ai du rentrer à pied chez les amis…je devais vraiment avoir une tête de pauvre fille parce que deux jeunes gens ont insisté pour m’y emmener en voiture…ils étaient gentils, ils essayaient de me faire rire.
Voilà pour ce qui du déménagement.
La deuxième chose dont j'aimerais parlé c'est le 30 qui était moins speed, mais plus spleen, le 30 septembre…5 ans et toujours à l'épreuve de l'oubli.
« Je ne sais si tu m’oublieras », moi je ne t’oublierais pas.
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