F.
Ceci est un message pré-enregistré...
Je suis chez C. pour chabbat, alors je respecte pas touche à l'ordi jusqu'à demain...
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J'ai rencontré F. en 1994 sur les bancs de la fac de sciences.
C'était un grand garçon assez original et extraverti avec son numéro de maillot au basket (13) gravé à la tondeuse sur l'arrière de son crâne.
Nous n'avons jamais été des amis du quotidien mais notre amitié tient depuis maintenant 14 ans.
Je suis son amie de l'ombre, celle que ses ami(e)s du moment ne connaissaient pas…
Idem pour lui.
J'ai tout de suite été attirée par lui et je pense que c'était réciproque.
Pourtant, nous étions pris tous les deux. Quand il ne l'a plus été, je l'étais et vice versa.
Il a ensuite passé 6 ans avec une copine de fac, B.
Quand il l'a quittée, il m'en a parlé tout de suite (lors d'une soirée merveilleuse où il m'a offert un collier en bonbon). Je partais alors vivre à Bordeaux.
Il me suit de près, arrivé à Paris en même temps que moi, passé au Danemark quand j'y vivais,
sans pourtant nous voir.
On se suit de loin en loin.
On s'envoie parfois à l'improviste des texto qui ressemblent à des poèmes, des déclarations de sentiments…
Mais nous n'avons jamais su, ni lui ni moi, sur quel pieds danser.
Il m'attire clairement (son odeur me rend folle et malgré sa ressemblance étonnante avec Jean-Claude Vandamme, je le trouve très craquant).
Je me souviens un soir où en 1997, un peu bourré, il m'avait proposé d'explorer mon entrejambe avec ses dix doigts délicats…
J'en avais très envie mais il commençait tout juste à sortir avec B.
****************************************************
Dans les texto, il dit qu'il pense à moi, qu'il voudrait me voir nue, que je suis sans doute amoureuse de lui.
Moi, je lui parle des mes voyages, mes pensées, mes tribulations…
Un jour, il m'a avoué penser à moi chaque jour.
Ce qui je ne lui pas avoué, c'est que moi aussi, je pense à lui chaque jour.
Aujourd'hui, je le lui ai écrit…
Je lui ai dit que je pensais à lui tous les jours et que j'étais sa stumbleine (voir note explicative).
J'attends la réponse, si jamais il en y a une car lui comme moi, parfois ne répondons pas…jusqu'à la prochaine fois où le texto nous démangera ...
Je suis chez C. pour chabbat, alors je respecte pas touche à l'ordi jusqu'à demain...
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J'ai rencontré F. en 1994 sur les bancs de la fac de sciences.
C'était un grand garçon assez original et extraverti avec son numéro de maillot au basket (13) gravé à la tondeuse sur l'arrière de son crâne.
Nous n'avons jamais été des amis du quotidien mais notre amitié tient depuis maintenant 14 ans.
Je suis son amie de l'ombre, celle que ses ami(e)s du moment ne connaissaient pas…
Idem pour lui.
J'ai tout de suite été attirée par lui et je pense que c'était réciproque.
Pourtant, nous étions pris tous les deux. Quand il ne l'a plus été, je l'étais et vice versa.
Il a ensuite passé 6 ans avec une copine de fac, B.
Quand il l'a quittée, il m'en a parlé tout de suite (lors d'une soirée merveilleuse où il m'a offert un collier en bonbon). Je partais alors vivre à Bordeaux.
Il me suit de près, arrivé à Paris en même temps que moi, passé au Danemark quand j'y vivais,
sans pourtant nous voir.
On se suit de loin en loin.
On s'envoie parfois à l'improviste des texto qui ressemblent à des poèmes, des déclarations de sentiments…
Mais nous n'avons jamais su, ni lui ni moi, sur quel pieds danser.
Il m'attire clairement (son odeur me rend folle et malgré sa ressemblance étonnante avec Jean-Claude Vandamme, je le trouve très craquant).
Je me souviens un soir où en 1997, un peu bourré, il m'avait proposé d'explorer mon entrejambe avec ses dix doigts délicats…
J'en avais très envie mais il commençait tout juste à sortir avec B.
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Dans les texto, il dit qu'il pense à moi, qu'il voudrait me voir nue, que je suis sans doute amoureuse de lui.
Moi, je lui parle des mes voyages, mes pensées, mes tribulations…
Un jour, il m'a avoué penser à moi chaque jour.
Ce qui je ne lui pas avoué, c'est que moi aussi, je pense à lui chaque jour.
Aujourd'hui, je le lui ai écrit…
Je lui ai dit que je pensais à lui tous les jours et que j'étais sa stumbleine (voir note explicative).
J'attends la réponse, si jamais il en y a une car lui comme moi, parfois ne répondons pas…jusqu'à la prochaine fois où le texto nous démangera ...
3 Comments:
Une multitudes de personnages, des lieux étonnants, que j'imagine bien la nuit, avec des néons de couleurs, de vapeurs d'alcool et de cigarette; des lumières de ville et des regards qui pétillent... Ton blog fait fonctionner mon imaginaire à plein tube...
Désolé.
On pourrait faire un vis ma vie :)
Attention, je suis très joueur ^^
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