samedi, novembre 26, 2005

Erratum sed lex

A la demande particulière (et cela vient de haut), je me permets de rectifier le récit de mon voyage en champagne.
J'ai malencontreusement oublié (ou peut être est-ce là ce qu'on appelle psychanalytiquement une mémoire sélective), de vous relater un grand moment de solitude partagé, j'ai nommé : Le dîner pourri.

Dame ML, une grande penseuse de ce siècle (oui effectivement elle est plutôt éfficace en pensemants et en parmesant, elle est pas mal non plus), a eu la gentillesse de me conviée dans son humble demeure (Madame est chatelaine) à souper (parce que franchement on a diner un peu tard !!!).

Le menu se composait d'une fabuleuse tartine de Comté AOC et autres mises-en-bouches. Je me fiais donc à ce début prometteur. Lorsque, dans une subreptice, j'humai une odeur fétide qui provenait de la cuisine...
Et oui, Dame ML préparait de la nourriture chinoise (un Wok parait-il). Comme vous le savez tous, ce genre de nourrriture m'est interdit par ma religion (l'existentialisme qui prône de ne déguster que des plats dégustables).

Nonobstant (spéciale dédicace à tous ceux qui ne reconnaissent plus personne en Massey-Ferguson), je fifi de tous ces principes, en vertu du principe de civilité et de reconnaissance à la main tendu qui m'offrait alors le gîte et le couvert.

Pour conclure, je dirais que L'INSERM devrait entamer des investigations chez Dame ML.
J'ai d'ailleurs une théorie, je crois que le Fnux est de retour et qu'il colonise Reims.

Bien le bonsoir dans vos chaumières vous qui connaissez la neige et salut à toi celle qui connaît le soleil des tropiques.

Votre dévouée Grande Zoa.

Ps : elle est à toi cette chanson, toi la reimoise qui sans façon, m'a donné quatre bouts de pain quand ma vie il faisait faim....