La vie rêvée des anges
Parfois, il arrive qu'il nous faille quelques temps pour prendre conscience des choses...Je veux pour que vraiment dans un accès soudain de lucidité, elles nous traversent.
Eh bien, je viens de prendre conscience que jeudi 27 novembre, j'ai vécu une journée d'une rare paix intérieure et d'une grande joie.
En ce début d'après-midi d'octobre, je suis allée me promener à vélo le long des quais, armée de quelques chansons désuettes (goldman et sheller) et d'un ouvrage de Bobin.
J'ai fini cette équipée qui n'avait rien de sauvage...au jardin public allongée dans l'herbe, au soleil brulant (28 degré), entourée de personnes qui prennaient soudain le temps de vivre.
Je prenais tout mon temps pour lire, un des plus délicieux ouvrage de Bobin, celui où il avait choisi, non sans une grande pudeur, de parler de lui et de ses sentiments...
Je lisais quelques lignes et m'attardais soudain sur un nuage (rare ce jour là) et la beauté des choses qui m'entouraient.
Quand soudainement, mon téléphone se mis à sonner (d'une sonnerie couleur cascade d'eau tropicale)...
Qui est ce qui pouvait bien avoir l'arrogance de perturber ce moment ?
En fait de pertubation, ce n'était qu'une ponctuation légère un prolongement...Pdf m'appelait pour me parler...
La conversation fut délicieuse...
Je concluai par ses mots empruntés à Bobin ..."je te quitte mais comme un troubadour, j'irai chanter mon amour pour cet homme, qui en réalité n'existe pas...il est toujours plus commode d'aimer des illusions..."
Eh bien, je viens de me rendre compte à quel point j'avais passé un après-midi harmonieux, délicieux...
Que la nuit vous soit douce...
"J'ai cru mon foyer éteint,
je remuai la cendre
et me brûlai main"
A. Machado (traduction libre)
Eh bien, je viens de prendre conscience que jeudi 27 novembre, j'ai vécu une journée d'une rare paix intérieure et d'une grande joie.
En ce début d'après-midi d'octobre, je suis allée me promener à vélo le long des quais, armée de quelques chansons désuettes (goldman et sheller) et d'un ouvrage de Bobin.
J'ai fini cette équipée qui n'avait rien de sauvage...au jardin public allongée dans l'herbe, au soleil brulant (28 degré), entourée de personnes qui prennaient soudain le temps de vivre.
Je prenais tout mon temps pour lire, un des plus délicieux ouvrage de Bobin, celui où il avait choisi, non sans une grande pudeur, de parler de lui et de ses sentiments...
Je lisais quelques lignes et m'attardais soudain sur un nuage (rare ce jour là) et la beauté des choses qui m'entouraient.
Quand soudainement, mon téléphone se mis à sonner (d'une sonnerie couleur cascade d'eau tropicale)...
Qui est ce qui pouvait bien avoir l'arrogance de perturber ce moment ?
En fait de pertubation, ce n'était qu'une ponctuation légère un prolongement...Pdf m'appelait pour me parler...
La conversation fut délicieuse...
Je concluai par ses mots empruntés à Bobin ..."je te quitte mais comme un troubadour, j'irai chanter mon amour pour cet homme, qui en réalité n'existe pas...il est toujours plus commode d'aimer des illusions..."
Eh bien, je viens de me rendre compte à quel point j'avais passé un après-midi harmonieux, délicieux...
Que la nuit vous soit douce...
"J'ai cru mon foyer éteint,
je remuai la cendre
et me brûlai main"
A. Machado (traduction libre)
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