Le déclin de l'empire américain

C'est tout de même grave une civilisation où la superficialité est une vertu, où l'apparence est une référence et ou les personnages adulés sont des gens qui chantent...pas toujours très bien des paroles de préfèrence sans épaisseur et sur une musique plutôt pas élaborée...

Et où l'on rit le pauvre, le laborieux, le penseur et où il est chiant voire déplacé de s'interroger en public sur de quelqueconques questions métaphysiques relatives au devoir de droiture d'esprit de l'être civilisé.

Eh bien, à moi, cela me paraît des plus singulier...
Pardonnez-moi, j'ai été éduquée dans l'adoration d'un terme "la connaissance", avec pour exemple les philosophes des lumières, pour référence la tolérance et pour principe la droiture d'esprit (ou en tout cas sa quête).

Alors pardonnez-moi d'avoir voulu être ce que le (tiers) monde croit que le français est.

- "Toutc'que ti besoin moi donne toi,
ti robe à fleurs, moi donne toi,
chapeau de paille, tu peux gagner
tu fais toucatacata dans mon la case
...
Dans ma tête j'entends le gran ciné
avec son gros anneau dans son zoreille.

Ambalaba..."

- Philippe Laville ?
- Non, Maxime, mon cher Maxime L.