vendredi, septembre 30, 2005

Somethimes it snows in April

CD 438

Tracy died soon after a long fought civil war,
just after I'd wiped away his last tear
I guess he's better off than he was before,
A whole lot better off than the fools he left here
I used 2 cry 4 Tracy because he was my only friend
Those kind of cars don't pass u every day
I used 2 cry 4 Tracy because I wanted to see him again,
But sometimes sometimes life ain't always the way...

Sometimes it snows in April
Sometimes I feel so bad, so bad
Sometimes I wish life was never ending,
and all good things, they say, never last

Springtime was always my favorite time of year,
A time 4 lovers holding hands in the rain
Now springtime only reminds me of Tracy's tears
Always cry 4 love, never cry 4 pain
He used 2 say so strong unafraid to die
Unafraid of the death that left me hypnotized
No, staring at his picture I realized
No one could cry the way my Tracy cried

...

I often dream of heaven and I know that Tracy's there
I know that he has found another friend
Maybe he's found the answer 2 all the April snow
Maybe one day I'll see my Tracy again

Sometimes it snows in April
Sometimes I feel so bad, so bad
Sometimes I wish that life was never ending,
But all good things, they say, never last
All good things that say, never last
And love, it isn't love until it's past

mercredi, septembre 28, 2005

Elle se baladait...

en chantant lalala... quand je l'ai rencontrée j'aurais aimé être Lacan.

Ce soir, mercredi, last soirée aux Lilas.
Le déménageur m'a appelé cet après-midi, il m'a dit qu'il annulait...Suis-je ou ne suis-je pas dans la merde ?
J'ai un peu angoissé...demain va être une longue journée, déménagement ou pas !!!
En tout cas, je serais fixée demain 7h00 du mat (j'ai des frissons....).
Y a vraiment qu'à moi que ça arrive ce genre de trucs...
Attracteur étrange, punaise si je pouvais attirer le soleil et Tom Selleck m'a intéresserait déjà plus !

Voilà, da news tomorow.

- "Il n'y a que les moments tranquilles où on est tranquille"
- Oscar Wilde ?
- Nan, Thierry Beccaro !

Y a des Jours

Hier en allant prendre mon train, à Chatelet, j'arrive sur le quai. En face de moi, un gars avec une tête de premier de communion et un t-shirt avec écrit dessus en gros "Sex Toy"...
J'ai regardé mes voisins, qui avaient l'air offusqué (pour les vieilles Marie-Chantal) ou l'air de rien (pour les jeunes cadres dynamiques)...
Vous me connaissez, j'ai pourtant essayé mais je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire...
Il avait une tête de gros bébé catholique à la Patrice Df (I kiff U).

Il a très bien pris mon éclat de rire, et m'a même répondu (assez fort) "tu veux jouer!". Moi ça m'a fait encore plus rire, mais les autres gens avaient l'air choqué...

J'aime trop ça, ça me manquera parce que je pense qu'à Bordeaux on doit croiser moins de déglingués...

En revanche à Bordeaux, je veux pas me vanter mais le Bordelais me kiff.
Je dois avoir une tête d'imbécile heureuse, parce que les les gens me sourient, me parlent, m'indiquent mon chemin, me font des zieutages...ça fé plisir...


Voilà sinon permier jour, jupe violette, petit col claudine violet et superposition underground mais populaire, j'ai suivi de judicieux conseils : ne pas avoir l'air de ce que je ne suis pas.
Je me suis plantée sur un transparent. Mais au final je crois que les gremlins m'ont bien accueillis (surtout quand je parlais toute seule en répondant moi même à mes questions ou quand l'un d'entre eux m'a chopé en train de voler son stylo...cleptomate un jour, cleptomate toujours ;)).

Voilà, hier j'ai revu la 25ème heure, j'ai débranché mon frigo et je suis sur un plan pour prendre le train ce soir, galérer dans un appart vide et faire le ménage demain. Avec tous ça, je me sens un peu le Gordon Gekko du pauvre.

mardi, septembre 27, 2005

Mardi du départ...de la bête à poils

Comme on dit chez nous, faut reprendre de la bête à poils...le soleil brille alors c'est reparti pour un tour, Come Back dans les Backs.

Alors, Mardi 27 septembre matin, je résume la situation :
Je pars pour Bordeaux, je bosse demain (au passage j'ai un peu, ou plutôt beaucoup d'appréhension pour demain 8H30).
Je rentre demain soir et je repars jeudi soir, pour cause de cours vendredi.

Voilà, mes retours possibles, le 07 octobre, le 17 novembre et le 03 décembre, (pour plus de renseignements appelez le 4-40, demandez Hamid de la part de Cathia, de la place clichy).
Vous êtes, par ailleurs, chaleureusement invités à vous translater dans le grand ouest, the South.

Hier, j'ai rendu visite à mon super héros favori "éroïnman"... pask ses muscles c'est du bacon !!! ;)

Dicton du Jour et éphémèride :
Aujourd'hui la Saint Christophe, l'homme qui a soit le don d'ubiquité, soit des clones à travers le monde, soit une tête de con et visiblement il est pas le seul dans ce cas.
"Ta mère est tellement vieille, qu'elle connaissait Burger King du temps où il était Prince...(Le 4 heures des champions)"

Chanson du jour : "Changes" 2pac Shakur

A bientôt pour de nouvelles aventures...

dimanche, septembre 25, 2005

Le blues

Du départ, de poulette malade, de la semaine, de la rentrée, du déménagement, du temps qui passe, des problèmes oubliés réapparus, des ami(e)s trop loin, de la pluie, des soirées parisiennes, du manque de soirée belle à Sienne, des amies perdues, du manque d'ambition, de la désespérance, de Sysiphe, de la Quête, de l'absence de solitude et de tant d'autres choses...

Oui, ce soir je rentre et dans le métro je me suis prise en plein visage le "j'écoute-D'Angelo" blues (au passage les connaisseurs apprécieront les évolutions, ce n'est plus le "j'écoute-Quicksand-de-Bowie" blues, auquel un être humain ne peut pas survivre au delà d'une préiode de 10 ans).

Vous avez pas le blues vous ?

Et surtout ne soyez pas dupes : "les rires ce sont les larmes qui se consolent toutes seules" ou alors devenez le plus grand des dupes (comme disait notre ami grand penseur allemand, et puis il ne faut pas faire les choses à moitié !!!)

vendredi, septembre 23, 2005

Qu'est ce qu'on attend de la vie ?

Faisons l'hypothèse de renoncer à la vie d'hermite,
on peut alors se demander raisonnablement ce que l'on attend de sa propre vie et de celle de l'autre avec qui on veut ou non la partager.
Qu'est ce qu'on peut attendre de la vie, lorsque l'on a depasser la superficialité, l'envie, la convoitise et tant d'autres choses.
Que devrait-on attendre en tant qu'humanistes ?

Avoir une vie pas trop bourgeoise, mais assez confortable pour ne pas être à la merci de la misère ou de l'angoisse.
Des sorties, pour nous changer les idées et peut être se cultiver.
Des amis, pour se sentir moins seul et partager son confort.
Le degré ultime de l'amitié, un alter-ego...

Pour quoi faire ?
Pour se sentir aimé ? Pour partager sans risque de duperie ? (l'experience montre le contraire) .
Pour combler ce besoin d'exister pour quelqu'un, ce sans quoi on existerait pas vraiment ?
Pour avoir une famille et ainsi ne plus se sentir seul à la merci de la vie de son cortège de tracas ?
Pour payer moins d'impôt ?
Pour faire des bisous à volonté sans craindre la mononucléose ?
Pour faire des enfants (et compléter ainsi son ensemble maison, voiture, cuisine équipée...) ?
Pour être efficace dans l'échange implicite de services, et n'avoir qu'un guichet unique ?
Pour créer une sphère où l'on pourrait réduire l'asymétrie d'information et révéler sans craintes ses préférences ?

Et mon cul c'est du poulet ?

Un peu de courage, je sais qu'il est plus facile d'aimer une personne que d'aimer tout court !
Je me permets à ce propos de reprendre à mon compte ces mots de C. Bobin :

"La misère dont témoigne nos attachements n’est pas à reprocher à l’amour.
Il faudrait mieux se demander ce qui nous rend si difficile d’aimer quelqu’ un sans aussitôt l’attacher à notre sort, ce qui revient à se demander pourquoi il est si difficile d’aimer."

Alors où en est-on ?

et Bobin d'ajouter :
"Ceux que j'aime, je ne leur demande que d'être libres de moi et ne jamais me rendre compte de ce qu'ils font ou de ce qu'ils ne font pas, et bien sûr, de ne jamais exiger une telle chose de moi.
L'amour ne va qu'avec la liberté. La liberté ne va qu'avec l'amour."

Et si on essayait ?

Les Lilas

Avant d'habiter ici, Les Lilas pour moi rimaient avec poinçonneur, avec cimetière..., avec un mec rencontré à mon arrivé à Paris qui m'avait servi de guide et de chevalier servant et qui m'avait parlé des Lilas où il était né, (je trouvais ce nom tellement joli), avec printemps, avec fleurs...

Je ne savais même pas que c'était une ville, je pensais bêtement que c'était un faubourg de Paris, comme Belleville, ou d'autres.

D'aucuns diront que je n'y ai pas vécu suffisament pour m'exprimer sur cette ville. Ils ont en partie raison, je n'y ai pas vecu longtemps (depuis mars 2005 seulement).
Et pourtant, Les Lilas me sont déjà familiers.
Le Docteur Cohen ; le vieux beau gentil pharmacien ; Sylvie, la caissière du Franprix ; Monsieur l'agent de sécurité du Franprix (qui est surement Malien, vu sa taille, sa majesté et la beauté singulière que dégagent les traits de son visage) ; les agents de la poste (le jeune, la beurette, le mignon et les incontournables antillais) ; les différents propriétaires des petits commerces, qui ont eu la gentilesse de me sourire et de m'interpeler tant de fois ; les adhérents de la salle de sport de ma rue, pas tous superficiels ; les jeufs de la syna ; les catho de l'église ; les croquemorts que j'ai croisé si souvent ; les boulangères sympathiques et écolos de la boulangerie La Galette d'Or ; les propriétaires du bar algérien le "Tout va bien" ; la proriétaire du magasin de lingerie et ses ensembles "de toute beauté" ; mes voisins et toutes les personnes qui ont répondu à mes sourires et autres interpéllations amicales.

Maintenant, Les Lilas m'appartiennent, les rues sont à moi, je reviendrai et je ne me sentirai ni seule, ni en terrain inconnu, je serai à la maison...

jeudi, septembre 22, 2005

Bebo y Cigala

Ces deux chansons sont extraites du CD de Bebo y Cigala (déjà un classique).
doux mélange de paroles brésiliennes et gitanes et de rythmes cubains...
Vous voyez ?

La Malinchista

Ps: Spéciale dédicace à celles (et ceux) dont le coeur bat trop fort...

Lagrimas Negras

Aunque tú me has dejado en el abandono,
aunque tú has muerto todas mis ilusiones
en vez de maldecirte con justo encono
en mis sueños te colmo,
en mis sueños te colmo
de bendiciones.

Sufro la inmensa pena de tu extravío
siento el dolor profundo de tu partida
y lloro sin que sepas que el llanto mío
tiene lágrimas negras,
tiene lágrimas negras,
como mi vida.

Viendo el Guadalquivir
Las gitanas lavan los niños en la orilla
Viendo los barcos pasar
Agua de limonero
Agua de limonero
Si te acaricio la cara
Tienes que darme un beso

En el Guadalquivir
Mi gitana lavaba pañuelo de blanco y oro
Que yo te daba, que yo te daba

Tu me quieres dejar,
yo no quiero sufrir,
contigo me voy mi gitana
aunque me cueste morir.



Corazon Loco

no te puedo comprender, corazón loco
no te puedo comprender, ni ellas tampoco
yo no me puedo explicar, como las puedes amar tan tranquilamente
yo no puedo comprender como se pueden querer dos mujeres a la vez y no estar loco
merezco una explicacion porque es imposible seguir con las dos

aquí va mi explicación, a mi me llaman sin razón corazón loco
una es el amor sagrado, compañera de mi vida, esposa y madre a la vez
y la otra es el amor prohibido, complemento de mi alma al que no renunciaré
y ahora ya puede saber, como se pueden querer dos mujeres a la vez y no estar loco

y no estar loco....

Posologie

En cas de déprime ou morosité persitante, allez sur ce site :
http://flo57.free.fr/

Ensuite cliquez sur divers, puis sur bricoles et là écoutez les deux morceaux. Il a notamment le désormais célèbre "Rap allemand".

Contre indications graves :
- Manque d'humour,
- Gauloiserie aggravée,
- Facisme en tout genre.

Contre indications légères :
- L'usage en période sérieuse ou de grande concentation est déconseillé aux débutants.

En cas d'apparition d'effets secondaires, consulter un bras cassé ou une manouche.

MP is back

Oui, je crois qu'on peut dire, qu'à 18H47, avec une moyenne de 10 interventions par heure depuis ce matin (toutes ont une des réactions positives), je suis de retour.

Mon come back dans les backs, je le dois en partie à Bordeaux...
Par où commencer ?
Les vieux qui s'engueulent dans le bus à cause du foot ? Le soleil rieur ? Les enfants ? Le temps de vivre ? Les blagues à 2 centimes de Mika ?

Commencons par le commencement.
J'arrive mardi soir et c'est soirée souris, je suis arrivée en pleine chasse aux souris (qui privées de leur logement pour cause de démolition sont venues squatter l'appart de bourges de la famille K.).
J'ai décidé de ne pas prendre partie, je suis restée neutre, après tout "let the sun shine in", même pour les souris (qui quelque part me rappellent les mineurs facent à Jaurès, comment aurais-je pu ne pas compatir ?).

Le lendemain je vais au boulot. J'y obtiens sans menace ni represaille physique, un ordinateur trop top mortel...
Les gens sont cools, on est pas flicés...je m'y habituerais presque...

L'après-midi même, je suis restée enfermée dans l'appart de la famille K., car Monsieur K. a malencontreusement fermé à double tour derrière lui, et j'avais un rendez-vous important. J'ai donc passé plusieurs minutes à crier à l'aide par la fenêtre avant de me rappeler de l'existence du télephone portable. On m'a finalement libérée (Madame K. qui est vraiment une super nenette), j'ai pu aller chercher les clefs de mon appart.

Au retour, on m'apprenait qu'ils étaient revenus...non pas les envahisseurs mais les poux des enfants K.
Ils reviennent car cet été nous avons eu la joie des les recevoir, la famille K. et moi (d'ailleurs j'ai un peu eu la honte de ma vie quand mon proprio des lilas face à des preuves compromettantes a tenté de me rassurer en me disant que c'était plutôt commun d'avoir des poux dans la tête...et dans les parties génitales...grand moment de solitude pour moi).

Ce matin j'ai accompagné le petit dernier de la famille K. Al. a 2 ans et il a dit qu'il aime sa mère et moi :).
Je commence à apprécier la vie de famille (oui d'accord, celle des autres, mais c'est déjà ça). Nabs avait peut être raison, je finirai bien par m'y faire...

En tout cas une famille comme ça, j'aime assez.
Et puis je viens de quitter Bordeaux et j'ai hâte d'y retourner...

A pluche pour plus d'aventures.

La lettre

"Chers tous, je suis bien arrivé à ********, cependant, déjà, cette ville me fait peur : une terre (t)inconnue, le froid est dans le coeur des hommes, il me semble que cette ville est faite de pierres, et non d'hommes.
Je sais que je laisse un grand vide à Saint-Germain-des-Prés.

Bien affectueusement, votre fidèle compagnon. A."

Les puristes auront reconnus les auteurs... d'ailleurs j'ai un plan pour aller les voir en Gironde !!!!

Mais parlons des choses sérieuses...message suivant.

lundi, septembre 19, 2005

Un grand moment de solitude


Pour lui et pour nous aussi...
Cette photo a failli me faire renoncer à l'hétérosexualité.
Je connais des propritétaires de BMW, du coté d'hautepierre, qui l'a kifferaient cette photo virile.

Aujourd'hui, j'ai le dos bloqué (oui je sais : 36 15 code MAVIE, mais je vous rappelle que c'est un peu le principe du blog).
Sinon, je pars demain, je vous tiens au courant de mes san pellegrinations.

dimanche, septembre 18, 2005

Jean-claude.com

CLIQUER SUR LE TITRE : JEAN-CLAUDE.COM


N'essayez pas de régler votre écran d'ordinateur,
vous entrez dans un monde où les chakras sont des félins qui font cracra,
où les trous noirs constituent des passages vers d'autres dimensions...
vous êtes dans la 8ème dimension, dimension peuplée de VVNI.

Si toi aussi tu as passé les années 90 à Strasbourg, que tu es Oldschool,
que tu crois que imiter Mary J. Blige un 31 décembre à Vendenheim, c'est en faire trop,
alors tu sais exactement de quoi je parle.

Ah, j'oubliais, si t'as des citrons dans le pantalon, ça marche aussi.

Alors va chercher bonheur en regardant cette vidéo.

Dans ma rue...Et elle s'appelle, le 18 ème.

La nuit dernière, j'ai rencontré Lisa.
Elle cherchait l'Olympique...Je l'ai suivit.
Un concert de musique sénégalaise et un breuvage anisé plus tard, je
découvrais qu'elle revenait de Bordeaux et s'y installerait certainement l'an
prochain...
Elle travaillait sur le plaisir amoureux et connaissait les écrits de Georges Simmel.
Tapha, son mari batteur, sourit. La musique, la musique ça fatigue et cela
fait sourire.

L'olympique avait quelque chose de familier mais plus rien d'intime.

"Le solitaire est celui qui n'est plus jamais seul
parce que toutes choses viennent à lui, trouver leur nom."

jeudi, septembre 15, 2005

Question

On m'a demandé pourquoi je partais...

"C'est quoi, réussir sa vie, sinon cela,
cet entêtement d'une enfance, cette fidélité simple:
ne jamais aller plus loin que ce qui vous enchante à ce jour, à cette heure."

Et puis, personne ne m'a retenu...

La Manouche

I have it in the belook, I like to popol

Et oui, l'Association de Malfaiteurs est passée par là.
Remontage de moral en bon uniforme.

Voilà je prends des rides et vous aussi, aussi je vous invite à vous rendre sur ce site où on peut télécharger (gratuitement et légalement) des morceaux d'un artiste camerounais Teek, (je vous conseille tout particulièrement la chanson "on prend des rides").
http://teeknanga.free.fr/

Voilà encore un autre jour au paradis.
N'est-ce pas Marie ?

"Il faut autant de génie - c'est-à-dire de courage, de songe, de patience et d'impatience, d'innocence et de ruse - pour trouver l'argent du loyer et de quoi vêtir des enfants que pour bâtir un chef-d'oeuvre."

mardi, septembre 13, 2005

Assez seul pour ne plus l'être jamais.

La semaine dernière j'ai commencé à avoir peur de partir...
Vendredi, j'ai vu les plus beaux yeux du monde...

Est-ce que j'apprécie mieux les choses parce que je pars ?
J'ai eu envie de rester, de ne plus partir, de n'en faire qu'à ma tête d'enfant...tout simplement expliquer que j'avais changé d'avis et que finalement j'aimais beaucoup cette vie là.
Après tout je n'ai jamais aimé dire aurevoir, ou alors trop.

"Faire trop longtemps la même chose, au même endroit, à la même heure, cela rend vieux."

vendredi, septembre 09, 2005

L'aventure c'est l'aventure

Voilà, un blog pour ne pas se perdre de vue...lors de ma nouvelle aventure dans le grand ouest...

La Grande Zoa