samedi, décembre 31, 2005

Army of Lovers

I've seen the deepest darkness
And wrestled with gods
Ride the noble harness
Raining cats and dogs
I stand before my Maker
Like Moses on the hill
My Guinness record baker
I abide your will

The first of reciters
I saw eternal light
Best of vocal fighters
Beyond human sight
Where thorns are a teaser
I've played a double jeu
Yherushalaim at easter
I cry I pray mon Dieu
I cry I pray mon Dieu

I'm crucified
Crucified like my Saviour
Saintlike behaviour
A lifetime I prayed

I'm crucified
For the holy dimension
Godlike ascension
Heavens away

Prophets I've been reading
Stories I've been told
Before I end my breathing
I travel in the soul
Where thorns are a teaser
I've played a double jeu
Yherushalaim at easter
I cry I pray mon Dieu
I cry I pray mon Dieu
I cry I pray mon Dieu
Adieu mon Dieu

vendredi, décembre 30, 2005

Landslide

took my love, I took it down
I climbed a mountain and I turned around
And I saw my reflection in the snow covered hills
’til the landslide brought it down

Oh, mirror in the sky, what is love?
Can the child within my heart rise above?
Can I sail through the changing ocean tides?
Can I handle the seasons of my life?

Well, I’ve been afraid of changing cause i’ve
Built my life around you
But time makes you bolder
Even children get older
And I’m getting older, too

Well, I’ve been afraid of changing cause i’ve
Built my life around you
Time makes you bolder
Even children get older
And I’m getting older, too
I get older, too

I took my love and took it down
I climbed a mountain, I turned around
And if you see my reflection in the snow covered hills
The landslide brought it down
The landslide brought it down

jeudi, décembre 29, 2005

Barna

Il fallait faire ce détour,
J'y suis allée, j'ai bu, j'ai vu.

Un retour en arrière de presque 4 ans, Al. n'avait pas changé, beau gosse, poète maudit, éternel adolescent.
P. qui habituellement me ravissait et pourtant si loin.
Qu. est devenu plus proche, presque plus intime, cela ne m'a pas plus, cela m'a déçu et angoissée.
Découverte de Est. la tolérance à l'état pur.

Des soirées journées de beuveries, des nuits dans les rues, complétements colocao...
Pour perdre pied, oublier,
Je ne suis pas (plus comme eux).
Ce n'est pas que je n'ai rien à oublier, je ne veux pas oublier.
Alors bas les masques, analyse de texte, exposé majestueux sur le rôle et les devoirs de Mary Poppins. L'épée était sortie, il ne me restait plus qu'à disparaître, je me suis éxécutée...
Grands discours, pleurs, amours, exclusions des autres : P. et moi.
Grandiloquente...
Je jurais mes grands dieux de devoir disparaître, de ne plus pouvoir revenir...
(Ceux-là me manquent déjà...)

Alors mi fachée, mi fatiguée, je suis partie un jeudi, une envie soudaine de rejoindre Liza, et peut être aussi un peu de rêve, peut être sur la route, peut être dans un bar, peut être dans cette rue...

Ce n'est pas arrivé... enfin pas à ce moment là, mais bien plus tard.


Sur le chemin du retour, main bléssée, (carte bleue tombée sous le frein à main, pas une tune donc envie de la récupérer), ambulance.
Minuit passé, "Maison"...
Chaleur, silence, espace...et mon lit.

Je me suis embourgeoisée :)

mercredi, décembre 21, 2005

Twilight fades...

Le malinchista c’est celui qui réfute sa propre culture pour se tourner vers l’étranger. Mais le malinchista a deux facettes. C’est le métissage mais c’est aussi la trahison du peuple mexicain. Parce que la Malinche est celle qui a choisi le conquistador et non son peuple. Mais c’est aussi parce qu’elle a eu des enfants du conquistador, qu'elle crée le métissage.

La Malinche, qui a donné son nom au mouvement Malinchista, est une jeune Aztèque devenue l'esclave, l'interprète, la secrétaire puis la maîtresse de Cortès. Grâce à elle, le chef des conquistadors va asseoir sa domination sur les indiens. En ayant un enfant avec Cortes, elle incarne à la fois la traîtresse… et la mère du Mexique moderne.

mardi, décembre 20, 2005

Valentine Heart

Liza m'appelle,
elle est là dans la ville.
En allant la rejoindre, je croise A. sorti tout droit de l'époque strasbourgeoise...
Je ne l'avais pas revu depuis mon départ au Danskland.

Et puis, balade avec Liza...
Rencontre fortuite avec Ph. dont j'avais l'impression étrange que cela ne faisait que commencer.

Chez moi, café, plus tard, verres en plastiques. Allons, il est tard, je te dépose. Les clefs de bagnole, sans chemise, sans pantalon. Sortie pour 2 min, rentrée le lendemain vers 19H00. Entre temps, un bar, des yeux, un sourire...
Des mots, des phrases, un bras, deux bras, une main qui effleure, des yeux qui implorent, un esprit critique, rigoureux et structuré...: A valentine heart anyway...

Plus tard...Dormir deux heures dans le froid, une visite en prison.
Accueil d'un chilien, dégustation de foie gras...et autres substances et enfin un petit tour par chez la femme piège.
Home again, sing that song of pain...Je ne sais si ...


"If I was a Londoner, rich with complaint
Would you take me back to your house
Which is sainted with lust and the listless shade
If I could have held you once more with that light
It's nothing to you, but it keeps me alive
Like a Valentine's Day, it's a Valentine's heart, anyway

The king and the ages, they fall by the plan
It's always the tired and the ordinary man
(It's the) challenge it's funny and such
I want to see you again
I want to see you again
It's so simple and plain
But I'll come back and see you again

The lie is the angel, it doesn't exist
I tell you it's funny but you like just to twist all my words
It's a shame you're so young
My word, it's a shame I'm so dumb
I figure a house with the smoke and the fence
The people round here would be pleased
Take my word on this

I would believe just in you, just believe in you
And five days to catch me around with my ring
As I visit the friendships which meant everything to the girl
With the clown's face, to the girl with the clowns face, round here"

dimanche, décembre 18, 2005

Les heures sombres de l'histoire

Le président irannien vient de faire preuve d'un négationnisme affligeant.
On organise des pogroms en australie contre les libanais.

Personne ne s'émeut...

Cela me rappelle les heures les plus noires de l'histoire humaine...

See that, understand it and weep !!!!!

samedi, décembre 17, 2005

Puisque tu pars

Aujourd'hui je suis d'humeur mélancolique mais heureuse.
Junior s'en va là-bas...

Il va me manquer...pour des raisons.

Nombre d'entre vous et moi n'avons jamais été du genre à vivre à coté...donc à avoir des relations de présence quotidienne. Alors c'est devenu trivial.

Et puis tu ne pars que le 06 janvier. Mais ce soir ce sont les aurevoirs (je n'aime pas les aurevoirs, cela me fait pleurer et j'ai l'impression que si on se dit aurevoir c'est parce que on risque de ne plus jamais se revoir).

Alors encore spéciale dédicace à ceux dont le coeur bas trop fort, qu'ils soient en Inde, aux USA, à Londres, à Madagascar, à Barcelone, au Chili, au Danemark, au Cameroun, au Cambodge, en République Tchèque, au Brésil, au Péru, dans le Sahara, en Alsace, en Corèze, à Roanne, en Isère, en Franche Comté, à Paris, à Nantes, à Bordeaux, dans les Landes, en Australie, à Lille, au Liban, en Grèce, en Egypte, en Castille-Léon, à Murcia, à Rome, en Sicile, en Suisse, à Sarcelles, à Reims, en Moselle, à Marseille, au Portugal, à Lorient, à Saint Michel, en Turquie, au Japon, en Indonésie...

Et tous ceux dont j'ai perdu la trace mais dont je sens encore les vibrations.


Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part

Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile

Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux

Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.


- Jacques Brel ?
- Non L'homme de la Mancha !!!

vendredi, décembre 16, 2005

Je vis des soirées belles à St Michel

Souvenez-vous, il y a quelques mois, je rencontrais Lisa dans les rues du 18 ème.
Eh bien hier, je me rendais chez Aurèle, sa soeur qui habite à Bordeaux, rencontrée récemment.
Elle habite Saint Michel.

Comment dire ? Saint Michel, c'est Belleville, Barbès, Ménilmontant, Notre Dame...
C'est d'une béauté... Et les gens sont vraiment sympas.

Résultat, rencontres sympathiques, soirées gros délires...
Et mon appart est redevenu la maison du bonheur... il y a un camp de manouche qui s'installe.

Spéciale dédicace aux gens étranges dont le coeur est gros comme ça et dont l'âme n'a rien à envie aux anges.

jeudi, décembre 15, 2005

Souvenir, souvenir...

Hier soir, en rentrant de chez les K. (oui ceux des souris, des poux et maintenant des chenilles),
je tombe sur Delarue et les ex-lofteurs.
Quelle ne fut pas ma surprise de revoir Kenza et surtout sa mère...
Ce qui m'a fait penser à une de mes meilleurs blagues de l'époque (2000).
Quand on regarde la mère de Kenza, on se dit que Bernard Tapie et Peter Ustinov étaient en perte de vitesse et qu'ils avaient décidé de fusionner !!!

Les old schools l'a connaissent déjà mais elle est toujours aussi délire !!!
Voilà, remember camembert comme dirait Desproges.

Sinon, ben pour se capter ces vacances : je reste ici jusqu'au 22 déc (pour cause de boulot urgent...) ensuite rendez-vous à Bordeaux pour un get together et finally probablement direction Barna.
Tous ceux qui ne savent pas quoi faire et qui ne sont pas chrétiens ou alors pas famille, vous êtes les bienvenus.

- "Say it ain't so Joe, please"
- Kool Shen s'adressant à Joey Starr ?
- Nan, Drucker à propos de Joe Dassin.

Ps: Au fait la soirée "mélanges" a été excellente, le mix a bien pris. Ah ça c'est les soirées de l'ambassadeur !!!
(InDaMix Strasbourg 2004 spécial Guest Star Barry White).

mercredi, décembre 14, 2005

Arabité, Arabitude...

Je suis née en Franche comté,

Dans le caractère Comtois il y a la robustesse, certains disent la rudesse.
Mais toujours de l'honnêteté et de la spontanéité que l'on aime à qualifier de cul terreuse !!

Comtoise comme : Louis Vuitton, Louis Pasteur, Marcel Aimé mais aussi Victor Hugo, Marie-François-Xavier Bichat, Charles Nodier, Louis Pergaud, Claude-Joseph Rouget de Lisle, le Lieutenant-général Bachelu, Jean-Pierre, Jules et Armand Peugeot, Victor-Désiré Dalloz, Frédéric Japy, Pierre-Joseph Proudhon mais aussi le Comte Hilaire de Chardonnet, Auguste et Louis Lumière, Claude François de Jouffroy d’Abbans, Edouard Belin Dominique Voynet, Edgar Faure, Jean-Pierre Chevènement, La Madeleine Proust, Félix-Henri Giacomotti, Claude-Nicolas Ledoux, Jules Grévy, Claude Renaudot…. La liste n’est bien entendu pas du tout exhaustive mais chacun d’entre nous pourra y apporter ses compléments. Et pas que du vieux et très célèbre.

La « Vache qui rit », la montre LIP ou encore la vache comtoise sont aussi des personnalités importante.

Mon identité toute entière porte les stigmates de cette terre qui m'a vu naître.

Je suis également Algérienne, ce coté n'est en rien en opposition avec la Comté Franche.
Au contraire les caractères rudes et parfois enjoués mais toujours spontanés de mes parents n'ont fait que renforcer le caractère comtois qu'est le mien.


Tout ceci pour vous dire que je pressens que nous vivions des heures noires...
En regardant le journal TV et en écoutant autour de moi, je m'aperçois que le fachisme s'est refait une béauté et que fort de ce nouveau visage il revient.

Réflechissez...
être arabe aujourd'hui ... la façon dont cette éthnie qui n'en n'est pas une, est considérée, les amalgames, les légendes et autres mythologies qui les entourent.
Le traitement politique, religieux et dans la rue, qui est réservé aux arabes ne vous rappelle rien ?

Eh bien plutôt que d'avoir honte et de cacher mon arabité, j'en suis fière, je suis fière de faire l'objet de discriminations et autres parties de plaisir... car il vaut mieux être la victime que le bourreau.

En revanche j'ai honte, honte de la reduction des personnes à une communauté, honte du retour en arrière qui se produit.
Honte, qu'après tout ce qui m'a été enseigné à l'école de la république (les lumières, la philosophie, le cogito, la tolérance, se méfier du facisme latent. Réfléchir, faire preuve d''esprit critique...)

Mais l'homme restera l'homme (ecce homo), après la Saint Barthélémy, les pogroms de tout temps et autres massacres oubliés, l'homme ne déçoit pas...

J'aimerais préciser ici, que je veux pas dire que les méchants sont les occidentaux et les arabes gentils.

Je veux dire que réduire une personne à des caractéristiques d'un group éthnique (ou autre) est la définition même de la discrimination.

Et le pire est que je suis plus que pessisiste.



- "Je connais lucidement et sans arrière-pensée les frontières de la communication et de l'harmonie entre moi et les autres hommes. J'ai perdu ainsi de la naïveté ou de l'innocence mais j'ai gagné mon indépendance. Je ne fonde plus une opinion, une habitude ou un jugement sur autrui. J'ai expérimenté l'homme. Il est inconsistant."

- "Mais c'est la personne humaine, libre, créatrice et sensible qui façonne le beau et le sublime, alors que les masses restent entraînées dans une ronde infernale d'imbécillité et d'abrutissement."

- "Peu d'être sont capables d'exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d'arriver à formuler de telles opinions."

mardi, décembre 13, 2005

Ce qui me touche...

1. Les naissances du 13-12 : Rudà et puis ma maman...

Et puis aussi des choses...comme celles qui sont comptées et contées par Sinead :
"Margareth Thatcher on TV
Shocked by the deaths that took place in Beijing
It seems strange that she should be offended

The same orders are given by her


I've said this before now

You said I was childish and you'll say it now
"Remember what I told you
If they hated me they will hate you"


England's not the mythical land of Madame George and roses

It's the home of police who kill black boys on mopeds

And I love my boy and that's why I'm leaving

I don't want him to be aware that there's

Any such thing as grieving


Young mother down at Smithfield

5 am, looking for food for her kids

In her arms she holds three cold babies

And the first word that they learned was "please"


These are dangerous days

To say what you feel is to dig your own grave

"Remember what I told you

If you were of the world they would love you"


England's not the mythical land of Madame George and roses

It's the home of police who kill blacks boys on mopeds

And I love my boy and that's why I'm leaving

I don't want him to be aware that there's

Any such thing as grieving."

mercredi, décembre 07, 2005

Il est 13h sur ma comète

Est-ce que tu sens le vent ?
je suis l'homme de la pluie, l'enfant du beau temps...

Ce soir soirée expression, le coté obscur de la force et les Jedis font une soirée spectacle caritative.

La vie d'artiste est fragile.
La tête pleine de soucis...

Vendredi, apéro.

Je sens comme une tourmente qui s'avance...une nouvelle aventure qui commence.

mardi, décembre 06, 2005

On prend des rides et des risques

Voilà, toujours à l'épreuve des balles et du commercial...

Week end pleins d'émotions...
Quelle heure est-il sur ta planète ?

"We used to ride ride ride
Never afraid to die die die
But some times we cry cry cry
Askin’ the lord why why why
They’re tearin’ down these projects"

C'est ça nos vies...

Rabs magnifique...pleine de vie...
Cecile, si belle, ma belle...


Ma vie pleine de bisous et de sourires...à l'improviste...
Changement de paradigme, redécouverte des proches, découverte de certains...
Et puis déçue...aussi...

Le remord plutôt que le regret.
Il y a encore beaucoup de choses à faire, entreprendre, rêver, être comblée, décue, surprise, malmenée...

Vivre.
Vous me deceverez certainement et il faudra que j'apprenne à vivre avec cela.

Accrochée à la vie, je fais des efforts...

Je vous embrasse.

dimanche, décembre 04, 2005

Naked eyes


"I am a lonely painter

I live in a box of paints
I used 2 b frightened by the devil
and drawn 2 those who weren't afraid
Remember when u told me
that love was touching souls?
Well, surely u touched mine
Part of u pours out of me
from time 2 time in these lines
U're in my blood like holy wine...
u're so bitter and so sweet
I could drink a case of u darling
and still b on my feet... still b on my feet"

jeudi, décembre 01, 2005

Jules et Jim

Hier, j'ai rencontré un jules qui s'appelle Jules.
Il a 16 ans et dans deux ans je le pécho ;).
Il est beau intelligent et subtil... Sa mère est d'accord.

Aujourd'hui, j'ai experimenté l'adage suivant :
"Tant va la fille chez le coiffeur, qu'elle fini par rencontrer des supers mecs..."
Et oui, que voulez vous, je ne suis pas chinois quelconque, je suis super chinois (cf. Eric et Ramzy, que je vais voir samedi soir...).
Dimanche, Paris, Khoupa de Cécilia et cavale épique...course d'orientation dans Paris...énigme et sombre histoire de manteau emprunté rendu taché.
Lundi au soleil de Camerounie.
Mardi, Banquier, Mercredi Compta ...et Jeudi ?
Jeudi c'est raviolis.
Jeudi, arrive les spanish de barca...
Vendredi teuf de ouf par ici.

Week end, reubeuh dub style.

A plus tous.